J’ai subi cette SaintéLyon 2011. Je l’ai subit comme un cauchemar, je n’ai que des souvenirs flous mais je me souviens bien de ma souffrance. C’est fou la capacité que peut avoir mon cerveau à oublier ces moments difficiles 😉
Étiquette : saintélyon
Avec cette semaine s’achève la dernière semaine de préparation active de la SaintéLyon. On rentre désormais dans la phase dite d’assimilation, plus de repos, plus de travail porté moins de volume.
Je suis content d’approcher du but. Cette excellente semaine galvanise et me donne envie de me confronter au parcours. La confiance n’exclue pas la prudence et si j’espère grâce à l’entrainement faire face à la soixantaine de kilomètres du parcours je ne sais pas du tout comment je réagirai dans ces conditions nocturnes avec un dénivelé que je n’ai pas vraiment appris à gérer.
Pour rassurer les copains blogueurs il y a plein de limites à ma préparation et autant je pouvais m’envoyer des fleurs après ma course du semi de la braderie début septembre, autant là je fais figure de mauvais élève ! Les points qui sont franchement améliorables à mes yeux :
- La PPG quasi inexistante de ma préparation
- L’absence de travail en côte ou de réalisation de dénivelé
- Le dépassement quasi systématique des objectifs hebdomadaire
- L’absence de travail à l’allure de course prévue
- Pas de bobo
- Le plus gros volume d’entrainement jamais réalisé avec des épreuves qualitatives récentes rassurantes
- Un matériel éprouvé qui joue son rôle de booster de confiance
- Un bon moral personnel et sportif malgré la morosité ambiante !
Préparation SaintéLyon
Après la chirurgie de guerre au fond des mines, la course à pied me libère : c’est le catharsis par la VO2max ! Je me suis récemment fait embrigadé pour courir la SaintéLyon. Une course mythique. Relier Saint-Etienne à Lyon, en décembre, de nuit. C’est la plus grande épreuve sportive que je n’ai jamais préparée.