J’adore me déplacer en vélo.
Le vélo ne nous laisse pas le choix. On est dehors, on quitte nos territoires protégés. La zone de confort est derrière nous. Mais, en fait, c’est à ce moment que je me sens bien. Je respire et je sens les éléments, l’humidité, les odeurs, le bruit de la ville…
Les jambes commencent à tourner doucement. Première partie, l’échauffement. Je passe en mode vigilant, à l’écoute de mon corps et alerte sur le terrain environnant.