Alors voilà*, c’est l’histoire d’un mec qui court qui croise un gars assis sur un banc. Le mec sur le banc l’interpelle : « tu cours après quoi dis ? faut être fou pour courir pour rien ».
Histoire on ne peut plus classique. Tous les coureurs passionnés rencontrent des gens qui les pense cinglés ou drogués à la dopamine.
Alors voilà, j’aimerais ouvrir ici quelques pistes pour expliquer. Ca sera en quelque sorte mon billet de conclusion d’un cluster de notes sur la course à pied.
Il y a autant de raisons de courir que de coureurs, je ne vais pas me lancer dans la taxinomie des coureurs. Je vais juste parler de ce que moi je ressens.