Voici un petit topo que j’ai essayé de faire pour un cours.
Au plus j’utilise les présentations style Powerpoint au plus je trouve ça naze. Quoiqu’il en soit vous trouverez peut-être des informations utiles pour vous !
Voici un petit topo que j’ai essayé de faire pour un cours.
Au plus j’utilise les présentations style Powerpoint au plus je trouve ça naze. Quoiqu’il en soit vous trouverez peut-être des informations utiles pour vous !
Beaucoup de patients hospitalisés en chirurgie digestive lourde reçoivent un support nutritionnel par voie parentérale. Lorsque toutes les calories sont apportées par voie veineuse, une cholestase peut se développer. La rupture du cycle entéro-hépatique des sels biliaires et la surcharge lipidique sont les principaux responsables. Cette situation peut malheureusement évoluer vers la fibrose et de d’autant plus que la NPT sera prolongée et l’intestin court et non utilisé.
Toujours préférer le per os avec un enrichissement et/ou des compléments alimentaires si possible
Ensuite si les apports oraux sont insuffisants (inférieurs moitié des besoins) : proposer nutrition artificielle
Nutrition artificielle doit être faite en préopératoire si la dénutrition est importante (10% poids du corps)
Si on fait de la nutrition artificielle préopératoire, il faut la poursuivre en post-opératoire
je vous propose en ligne le petit cours que j’avais présenté au DES d’anesthésie-réanimation…
c’est par ici : cours nutrition artificielle
J’ai suivi durant cette année universitaire les cours du DIU de Nutrition Artificielle dirigée par Jacques Delarue et Olivier Goulet. Les cours étaient variés et tous les rappels de physiologie et de pharmaco étaient vraiment très intéressants.
En espérant que Google pointe le bout de son nez un jour par içi, je vous donne les questions que l’on a eu lors de l’examen de juin 2010 :
– Régulation du métabolisme protéique intestinal (cf cours de M Coeffier)
– Lipides en NP : physico-chimie et intérêt clinique
– Fibres alimentaires : nature et intérêt clinique
– Facteurs de gravité somatiques de l’anorexie mentale