Le lendemain, même style d’exo mais je monte un peu la puissance pendant l’intervalle de 45 min :
Catégorie : vélo
^^A lire sur YouTube car l’intégration à d’autres sites web est désactivée par la chaine Tour de France.
Dans les derniers mois j’ai vécu beaucoup trop de mésaventures avec mon vélo de contre-la-montre. C’est un Canyon Speedmax CF SLX que j’ai acheté en 2017 pour me préparer à Challenge Roth.
J’ai adoré ce podcast :
https://youtu.be/3XXIrY1gY64?t=2040
Vers 34 min, le coach et coureur David Jeker explique qu’il pense intéressant de créer un grand gradient de lactate entre une concentration de lactate dans les fibres musculaires et le sang. Si on a fait tourner la glycolyse longtemps à fond, forcément le compartiment sanguin s’est rempli et le gradient est moindre que si on garde une lactatémie en dessous de 2 mmol/l par exemple. Il peut donc être intéressant d’avoir de grandes plages de récupération pour que la lactatémie redescende.
Je me suis donc fait un petit exo sur intervals.icu pour le tester.
Par approximation avec pleins d’autres entraînements, je pense que mon deuxième seuil est à 155-160 bpm (pour 177-180 max). Une estimation grossière de mon FTP est 250 W (3,9 W/kg)
Ca a donné ça :
Cet exercice était très intéressant et surtout je l’ai trouvé très gérable. J’en sors avec de l’énergie pour aller nager et ça me plait bien !
I loved this podcast:
https://youtu.be/3XXIrY1gY64?t=2040
Around the 34th minute, coach and runner David Jeker explains that he finds it interesting to create a large lactate gradient between the concentration of lactate in the muscle fibers and the blood. If we have been running the glycolysis at full throttle for a long time, naturally, the blood compartment gets filled, and the gradient is less pronounced compared to keeping the lactate concentration below, for example, 2 mmol/l. Therefore, it can be beneficial to have longer recovery periods to allow the lactate levels to decrease.
So, I decided to do a little exercise on intervals.icu to test it out.
Based on approximation with many other workouts, I believe my second threshold is around 155-160 bpm (out of a maximum of 177-180 bpm). A rough estimation of my FTP is 250 W (3.9 W/kg).
Here are the results:
This exercise was very interesting, and most importantly, I found it very manageable. I come out of it with energy to go swimming, and I quite like that!
Deux séances similaires très proches dans le temps mais dans des contextes de fatigue différents.
Cet été, je suis allé avec mon pote Patrick découvrir le plateau des Millevaches à travers la Creuse et la Corrèze. Je suis arrivé avec peu d’entrainement et peu de fatigue sportive, mais sans fraîcheur à cause de la chaleur des jours précédents avec des nuits médiocres.
Score de sommeil Garmin la veille de la sortie : 73/100, 6h20 de sommeil avec stress à 22. Quand je dors peu entre 22h et minuit, je sais que ça m’impacte… fréquence cardiaque au repos nominale à 42 ppm, body battery au réveil : 68, ça c’est pas normal pour moi. Mon poids est au plus haut ever, autour de 65 kg.
Je n’aime pas faire de la voiture, alors quand c’est de la Nationale une voie, c’est encore pire. Tant pis, je positive en étant content de la journée vélo qui s’annonce. Faut savoir parler à son cerveau dans les moments désagréables, ça module les circuits dopaminergiques 😉 J’écoute aussi de bons podcasts, notamment Andrew Huberman vis à vis duquel j’avais un a priori un peu négatif mais ça se révèle intéressant en prenant le temps d’écouter les épisodes et pas juste des extraits sur You Tube.
Un petit café au PMU de Chateauneuf-la-Forêt et c’est parti ! On part avec un petit vent de face et ça ondule d’emblée. Up & down non stop. Assez vite, je sens que ça va être difficile ! déjà parce que je ne sens pas le jus/la fraîcheur/la giclette pour placer facilement de petites accélérations sur les bosses, et puis je vois (piège de l’homo garminus) que mon Training Effect est déjà haut alors que la sortie démarre à peine. On ne monte pourtant qu’à 200 W mais je pense qu’il devait y avoir un « uncoupling » important avec ma FC du fait de la chaleur et de mon manque de fraîcheur. J’en fais part à mon explosif Patrick qui est facile. Je me rassure aussi en me disant qu’on prévoit une pause à mi-parcours, ça devrait faciliter la sortie. Par ailleurs, la crainte de la chaleur est mitigée par un parcours ombragé et agréable. Je prends un premier gel et je comprends que ça va être compliqué de manger les barres quand il fait si chaud. J’aurais du mettre du Maurteen dans mes deux bidons plutôt que de l’eau… Sur les graphes Garmin, je suis à -5 de condition physique avant 1h de vélo… ça je ne le vois qu’a posteriori mais c’est cohérent avec mon ressenti. Je suis à 170 watts de moyenne jusqu’au km 35 (NP 196), ce qui est franchement élevé pour moi, c’est plus que ce que je mettais sur des halfs de préparation quand j’étais très en forme en 2019.
Bon gré, mal gré, le paysage est joli, le lac de Vassivière donne envie de piquer une tête. Patrick fait les descentes, et mizot’ plus léger de 10 kg je peine à le rattraper et je dois en remettre une couche à chaque début de montée. Mon rythme ralentit dans les montées et sur le deuxième quart du parcours je suis plutôt à 150 W de moyenne. Notez que sur mes sorties cool du dimanche je suis d’habitude à 130 W de moyenne (ouais rigolez pas) Heureusement l’heure du ravito arrive. Les restos dans la pampa corrézienne sont blindés, il faut apitoyer un gentil serveur pour se restaurer à Bugeat (L’Etablissement, très bonne assiette et prix ok!)
Le redémarrage est un peu poussif. Effet de vol digestif. Néanmoins, je suis content que ça ralentisse un peu. Par contre, ça tabasse dans les descentes, je dois faire de beaux efforts pour m’accrocher. Je positive en me disant que ça me fait plein de temps en zone 2 et que c’est un bon test/entraînement mais je ne suis trop « en prise » pour profiter de la balade.
La température monte, Garmin Edge 530 indique plus de 35°C, peut-être un peu exagéré sur l’appareil mais pas loin de la réalité d’après la météo. On aborde les dernières longues côtes de notre parcours. Je sens que c’est difficile pour moi, je « débraye » dès le pied de la montée et je me méfie du coup de chaleur, je bois beaucoup mais c’est difficile sur l’estomac avec le magret qui n’est pas vraiment digéré… la côte du Puy des Fayes sonnera mon glas. Je monte désormais à 130 W les côtes… L’objectif est désormais de mettre un coup de pédale après l’autre… Pic de température à 38°C enregistré par Garmin, condition physique -9 : c’est le pétage en règle. Je ne me sens pas en surchauffe, mais les jambes ne répondent plus. Je le ressens particulièrement au niveau des ischios. Pour moi, c’était attendu avec les nombreux efforts du début et le manque de glucides ingérés depuis le début. Je suis de façon « grossière » ma consommation de glucides durant l’effort et c’est évident que mon glycogène est au ras des pâquerettes. J’ai absorbé autour de 20g/h alors que je devrais viser 60-80 g/h sur une sortie comme celle là. J’ai trop compté sur la pause repas, je me surprends dans cette mauvaise gestion parce que nonobstant la chaleur, j’ai l’habitude de beaucoup manger sur le vélo. Voici une estimation grossière de l’évolution de mon glycogène pendant cette sortie :
Si j’avais rempli deux bidons de Maurten et pris un gel de plus, le graphique aurait pu ressembler à ça :
De plus à pied dans la chaleur, j’avais lu qu’on pouvait facilement cibler une allure 15% plus lente pour tenir le rythme sur un marathon. Donc ici, avec mon relatif surrégime dès le départ, c’était un peu chronique d’un pétage annoncé…
Mais je positive, lorsque je tournais les jambes au ralenti, à compter mètre après mètre le dénivelé en moins sur le Mont Gargan je gardais le sourire, le moral était bon, c’était très dur physiquement mais j’ai découvert qu’on pouvait dissocier les deux. Je m’amusais presque du goudron qui fondait avec les gravillons qui faisaient un petit bruit de Frizzy Pazzy sous mes pneus… Ça restera à coup sûr une sortie mémorable !
Cinq ans après mon abandon et 2 ans de COVID plus tard j’ai enfin fait Liège Bastogne Liège et grimpé les bosses mythiques. Je me suis inscrit en 2019 et je me souviens très bien du moment de février 2020 où on évoquait de façon tout à fait extraordinaire le fait que l’épreuve puisse être annulée avec toutes les incertitudes que le Sars-CoV2 déclenchait… et effectivement l’épreuve n’a pas eu lieu, ni en 2020, ni en 2021.
salut ami lecteur qui pédale !
salut les autres !
Petit billet de blog sur les petits carrés de Veloviewer. Ça fait des années que j’utilise VeloViewer et je trouve cette web app fort sympathique. Je vous avais déjà parlé du score d’Eddington que je trouve fort marrant. J’ai enfin passé le 100 km symbolique il y a quelques temps et c’était cool d’avoir de temps en temps cette motivation d’aller chercher les sorties à 3 chiffres pour monter mon chiffres d’Eddington. Récemment, j’ai redécouvert les petits carrés VeloViewer et je trouve ça assez ludique ! Je vous explique.
Dans Veloviewer, le monde a été quadrillé selon une projection « rectangulaire » avec des carrés qui font approximativement 1 mile de côté (1,6 km). La gamification autour de ces carrés/carreaux/tiles s’articule en trois volets :
- parcourir un maximum de carreaux de part le monde
- faire la plus grande surface contigüe (aka cluster) c’est à dire une zone où vous avez parcouru tous les carrés adjacents
- faire le plus grand carré de petits carreaux (max square)
- en bonus, le site RideEveryTile.com répertorie aussi le plus grand carré de petits carreaux parcouru en une seule sortie (c’est un peu le paroxysme du caractère forrestgumpien de la chasse aux petits carreaux)
Dans Veloviewer, sur la page d’accueil « Summary » vous pouvez voir le nombre max de petits carreaux que vous avez parcourus, votre plus grand cluster et la taille du plus grand carré de petits carreaux. Pour ma part, je suis passé dans 4842 carreaux différents, j’ai un cluster de 697 carreaux et un grand carré de 21×21. Sur cette carte vous pouvez voir les carreaux que j’ai parcouru près de chez moi (les traces rouges sont les traces GPS de mes activités) :
On peut déjà bien s’amuser en essayant de monter ses stats sur les carreaux traversés, mais le jeu dans le jeu, c’est de se comparer aux autres, et il y a une véritable compétition mondiale pour le haut du classement ! C’est ainsi que j’ai eu la surprise de découvrir que le champion du monde du plus grand carré de petits carreaux habitait tout près de chez moi et qu’il avait parcouru au fil des années, un carré de 114×114 ! Il est passé partout de Dunkerque à Reims ! C’est un truc de fou !!
Pour ma part, ce petit jeu constitue une motivation supplémentaire pour aller rouler un peu plus loin que les parcours habituels. Et puis, au fil du temps, j’aimerais bien être dans le premier décile en matière du nombre de carreaux traversés, pour le moment je suis dans le top 20%, je me place à 83,8% parmi toute la population des athlètes qui utilisent Veloviewer.
Si vous aimez explorer le territoire autour de chez vous, j’avais écrit une autre petite note plus philosophique là. J’adore la connaissance améliorée du territoire que me procure le vélo, le fait de tracer des parcours à suivre, etc.
J’essaye de travailler plus en endurance haute comme je l’ai écrit précédemment. Voici un comparatif 2018 vs 2022 au 1er mars.
Toutes les activités :
Mais mon focus, c’est surtout le vélo :
On voit que je travaille plus l’endurance haute mais proportionnellement moins de « très haute intensité ». Je pense que je vais réintroduire ça parce qu’au fil des années j’ai la sensation que ça me convient bien.
Pendant l’hiver 2020-2021, alors que la deuxième vague de covid nous a bien tabassé en octobre je perdais toute illusion de faire des compétitions facilement durant le printemps été 2021. Il fallait que je trouve quelque chose qui me servirait d’objectif sous peine de déprimer. J’ai un moment nourri le projet de faire un équivalent d’Ironman en montagne. L’idée me plaisait vraiment, mais la logistique était vraiment compliquée (voiture à poser à T2 à l’avance…) et je n’ai pas réussi à trouver des copains pour m’accompagner (que ça soit pour le fun mais surtout pour la sécurité sur la partie nocturne trail en montagne). You Tube m’a poussé devant les yeux le reportage de France TV Sport sur le BikingMan Corsica.
One good reason to buy and use Super Sapiens, the CGM dedicated to athletes, is to fuel correctly during long sports events. I could not squeeze a long ride in my 14 days using the Abbott Freestyle Libre for the first time : bad weather or on calls impede me from going long on my bike… but thanks to my trusted TacX Neo, I did a long workout indoor. Not as fun, and as « stochastic » as outdoors but still, it’s an experience.
So, one day I just had two fried eggs for breakfast (no carb) and hoped on the trainer for a long workout. My goal was to reach some fatigue I could relate to a decline in energy.
I have always said that I appreciate more the path than the destination. Races give me a goal but I enjoy the process to get fit for the races. I enjoy training.
Today, I had a great training moment. The kind of key workouts that gives confidence, joy and fun. I had the idea to test my 1 min all out power to feed my power-duration curve, then do the classic 4×8 min. Hard program.
Hi there !
Since I have done my INSCYD testing in october 2019 I have gain a lot of insights on metabolism during cycling. I find really interesting to follow the carb consumption as a proxy for the load of a workout and a guide to adjust fueling during a long ride or race.
Lately, I decide to give a try to Xert with the idea of testing their Carb:Fat Connect IQ app. I have done a lot of all out efforts recently, so my power curve (to feed their algorithm) is quite accurate. I have downloaded all the activities from Strava to Xert and installed the Carb:Fat CIQ app on my Garmin Edge.
I also installed a CIQ app called Fat/Carbs Combustion Monitor developped by Oleksiy. As input in this app, I put the estimations from Inscyd. To give you an idea, their algorithm gave me this estimation of energy expenditure. Personally, I find it highly plausible. Fatmax was around 170ish watts (MAP around 330ish) burning 0,76 g/min of fat (a bit high though ?)
I am 39 yo, 62 kg, 7,5% fat on a Tanita 4 points impedancemetry weight scale. VO2max consistently measured between 55 and 60 ml/kg in the lab, Garmin/Firstbeat in the same ballpark.
I have made some comparisons beetween the energy expenditure estimates by Xert and « Inscyd via Oleksiy app ». Xert constantly overestimates my fat consumption and underestimates my carb consumption. I take the problem in this side because Xert gave me what I feel like odd numbers. On average the overestimation of fat consumption is +30% by Xert and the biggest issue is the underestimation of carb consumption by a whooping 45%. If I would trust their numbers I would bunk in a race ! I have contacted their support and frankly the communication was bad.
In the end, I will stop my subscription to Xert, as a triathlete I don’t find the value in it since it doesn’t take into account the 2 other sports.
On the other side, I recommend digging your understanding in your exercise metabolism because it’s really interesting.
Hi there ! With the end of the COVID19 lockdown I was eager to challenge myself. I did several critical power tests to assess my fitness and have the feelings of all out challenge like a race would be.
I had a good block of training with a lot of endurance on the bike and solid 4×8 min efforts around 90% of my HRpeak. Mid April I felt really good. This fell apart a little bit with a streak of on calls at the hospital. I put emphasis on sleep and recovery before engaging in a series of tests.
C’est classique : en octobre, après mes compétitions phares de l’année, je suis plein d’envie pour essayer plein de choses en matière d’entrainement. Cette année, après avoir écouté plusieurs podcasts sur la technologie INSCYD, j’ai contacté un coach habilité pour faire le test. Le process était vraiment intéressant et je serais assez enclin à encourager les cyclistes et triathlètes très sérieux à creuser le sujet.
INSCYD est un logiciel d’analyse de la physiologie d’un athlète. En gros, vraisemblablement suite à la compilation de beaucoup de données, une équipe de physiologistes allemands ont mis au point un algorithme qui analyse les efforts d’un athlète et permet de jauger de ces capacités explosives et d’endurance. En découpant bien quelles filières métaboliques (glucides versus lipides) sont utilisées, le logiciel va aussi nous donner plein de précisions sur ce que nous brûlons pour une intensité donnée. Et ça c’est aussi super utile pour programmer les apports nutritionnels plus finement que 60g de glucides à l’heure et yalla !
Je connais six moyen d’estimer le CdA, pour le moment les deux moins chers sont la calculette et Motionysis. Ensuite vient Best Bike Split. La solution intermédiaire c’est la soufflerie virtuelle (Virtual Wind Tunnel) avec une modélisation de votre position et de votre vélo et des calculs informatiques. Les solution très coûteuses sont l’évaluation sur piste (+/- avec des sondes Pitot) et en soufflerie.
Un exemple avec Best Bike Split là :
Motionysis est développé par Christophe Balestra. Christophe Balestra est un développeur/entrepreneur de grand talent qui a eu d’énormes succès dans le monde du jeu vidéo (Naughty Dog). C’est aussi un excellent triathlète amateur. Il a développé le site et l’app Obstri.com qui a beaucoup de succès pour comparer les résultats des différentes courses Ironman (+Roth). Ensuite, il a développé l’outil en ligne Motionysis.com pour peaufiner son aérodynamisme sur le vélo. Il y a trois parties dans Motionysis : une comparaison en image ou vidéo avec le sujet de votre choix (par défaut, Cameron Wurf <3), une estimation du CdA avec vos fichiers *.fit et enfin un outil pour se filmer et estimer le CdA géométriquement.
Il y a quelques années, j’avais découvert « vélochinois » sur onlinetri. Il racontait son aventure de construire un vélo à partir de zéro en commandant pièces par pièces sur des sites chinois comme Aliexpress. Je trouvais ça malin mais je n’avais ni confiance ni les compétences en mécanique pour ça. Alex/vélochinois a continué de développer sa présence sur les réseaux sociaux avec une chaîne You Tube. C’est un très bon athlète. Je ne suis pas toujours d’accord avec ses façons de faire mais ça c’est pas le sujet.
Toujours est-il que les algorithmes de YT ont fini par me pousser devant les yeux la chaîne China Cycling. L’auteur est un anglais vivant en Chine fan de vélo et adepte de bricolages à gogo. Il a fait des vidéos il y a quelques temps sur un salon du vélo en Chine, une des vidéos étaient dédiées aux capteurs de puissance chinois.
This note is dedicated to my friend @grangeblanche who likes beautiful things. I like fancy stuff too and here is my Canyon Speedmax CF SLX 2016-2017.
I apologize for the somewhat average picture for a bike but this post is spontaneous after this evening ride.
I have customized my Speedmax with some nice gear :
- Ceramic Speed pulleys
- Dura-Ace chain prepared by Ceramic Speed
- Hambini bottom bracket (expert craftmanship, one piece BB with top of the game *steel* bearings). I wonder if another crankset could improve a little bit the bike compared to the standard Ultegra one.
- Titanium aero skewers
- 3D printed box behind the Elite aero bottle
- Rar Optimal Wheel with a powermeter hub (G3), craftmanship by a french guy in my area. This is maybe a weak point, but the ROI for Swiss Side wheels was really too high (+ buying a new powermeter). The next update would be to have a disc wheel.
- Conti GP 5000 23 mm front with Panaracer butyflex clinchers, 25 mm rear with Michelin Latex clincher, roughly 85 psi
- Julian Alaphilippe bottle caught in Brussels during Le Tour 🙂
- 9° spacer to level up the aerobars
- Good Snickers to fuel the engine lol
Se sentir à sécurité sur un vélo c’est un sentiment recherché, naturel mais pas évident à concrétiser. Me déplaçant tous les jours à bicyclette, je vis les affres du partage avec les véhicules motorisés, et franchement, c’est difficile. Pour moi, c’est un vrai frein aux voyages à vélo que j’aimerais entreprendre, le vélo me parait être le truc le plus dangereux que j’ai fait.
Alors, quand après un projet de grimpette sur le Ventoux a été avorté, et que les copains m’ont missionné pour nous promener plus loin que nos terres de Flandre occidentale, j’ai été content de découvrir le site cycle.travel. Ce site webtrace des routes à vélo en proposant le plus de petites routes et de pistes cyclables possible. Et lorsqu’il s’agit d’aller en Hollande et en Belgique, ça devient un bonheur vu l’abondance de voies dédiées aux vélos.