Catégories
course à pied médecine médecine du sport sport vidéo

Ma conclusion sur athérosclérose et sports d’endurance

il y a un fait récurrent marquant à propos des sports d’endurance et athérosclérose : on est toujours surpris de voir des gens à l’allure saine frappés brutalement par la coronaropathie.
En effet, on pense intuitivement que le sport est une panacée. Ainsi le sportif svelte, s’exerçant régulièrement, mangeant peut-être un peu différemment, serait un idéal sanitaire.

Lorsqu’une pathologie coronarienne apparait notre schéma de pensée brutalement s’inverse  : « et si trop de sport était dangereux pour la santé ? » Un exemple* et on bascule.

Ma conclusion personnelle est que ce raisonnement n’est pas logique. Il serait plus précis de dire que la pratique des sports d’endurance n’immunise pas contre l’athérosclérose. Notre mode de vie et notre alimentation occidentaux sont toujours là. Les études qui sortent aujourd’hui étudient des coureurs des années 70-80-90, les pratiques étaient-elles les mêmes ? Les cardiologues dans la veine de O’Keefe lèvent une hypothèse. OK. Surveillons les travaux qui en découlent.

<UPDATE mai 2014> Les travaux sur lesquels se basent les médias pour faire du buzz sont interprétés trop rapidement. Dans le cadre de l’étude danoise, le fait d’ajuster la mortalité sur les facteurs qui s’améliore avec le sport (pression artérielle, poids, etc) est discutable.  Un exemple pour vous expliquer ça. On met en place une étude pour savoir si un médicament anti-émétique améliore le temps de séjour en salle de réveil après une anesthésie générale. Son intérêt réside dans le fait de diminuer les nausées et les vomissements  post-opératoires (NVPO). S’il y a moins de NVPO, le patient peut retourner plus vite dans sa chambre et/ou à son domicile. Si on fait une étude ou l’on ajuste les temps de passage en sall de réveil selon les NVPO, le temps de séjour en salle de réveil ne risque pas d’être modifié… vous voyez le truc ? Ensuite, il est important de lire la réponse des auteurs taïwanais à O’Keefe dans le Lancet, ils ont les données pour ceux qui font plus d’une heure de sport intensif par jour, ça reste protecteur : lire ici.<UPDATE>

Aujourd’hui il n’y a pas de preuves que trop d’activité physique type course à pied, cyclisme, entraine des dégâts sur les artères. Néanmoins je ne pense pas qu’il faille foncer vers toujours plus avec des oeillères… affaire à suivre…

* il  y a aussi de plus en plus d’exemples de sportifs de plus de 70 ans super bien dans leur peau…


 

Catégories
médecine médecine du sport sport

Bibliographie sur le thème endurance et risque cardio-vasculaire

Voici regroupés différents articles pour vous permettre d’aller plus loin sur ce thème polémique de l’entrainement intensif en endurance tout au long de la vie.

Catégories
course à pied médecine médecine du sport sport top vidéo

L’endurance et l’athérosclérose : trop de sport tue le sport ?

On peut faire du sport pour plein de raisons : pour se dépasser, pour l’amour de la compétition, pour oublier des soucis, pour le lien social, etc. Beaucoup font du sport pour rester en forme.

Avoir une activité physique régulière est très positif en matière de santé physique et mentale. Le sport peut jouer un rôle dans l’amélioration et la prévention de nombreuses pathologies. Une équipe de chercheurs taïwanais a mis en évidence dans une énorme cohorte de plus de 400 000 personnes suivis sur 8 ans que 15 minutes d’activité physique modéré par jour conférait une baisse de 14% de la mortzalité toutes causes confondues .  Ainsi il devient difficile aux couch potatoes de se défendre derrière l’argument churchillien que l’activité physique serait dangereux pour la santé.

Catégories
course à pied médecine médecine du sport sport top

Les sports d’endurance et l’athérosclérose

Récemment j’ai lu cet entrefilet journalistique sur LaNutrition.fr :

Marathon, triathlon, courses d’endurance : bon ou dangereux pour le coeur ?

A la lecture, mon sang n’a fait qu’un tour : « ça y est ! quelqu’un essaye  encore d’aviver mes vieilles angoisses » .J’ai lu l’article   qui compare des facteurs et des marqueurs de risques cardio-vasculaires des coureurs du marathon de Boston à leur conjoint. Le marathon de Boston est une course relevée nécessitant une qualification dans un autre marathon majeur. Les sujets sont donc déjà de très bons coureurs (3h05 chez les moins de 34 ans).

Catégories
médecine

Les transports sanitaires

En ce moment je suis en croisade contre les transports sanitaires abusifs. Mes consultations se compliquent juste à cause de ça, je suis très agacé par les papiers verts qui pertubent la relation que j’ai avec le patient.

La sécurité sociale est claire : les transports sanitaires sont là pour rendre service aux patients qui en ont le plus besoin et les coûts sont tellement grands qu’il faut réguler cette affaire. Ainsi sur le site AMELI.fr on trouve des fiches et des guides pour bien prescrire les transports sanitaires.

En gros je comprends que le transport est indiqué/remboursable dans quelques grandes situations :

  1. Convocation par la sécurité sociale
  2. Accident du travail
  3. Hospitalisation
  4. Distance de plus de 150 km entre le domicile du patient et lieu de soin (nécessité d’un accord préalable de la sécu)
  5. Nécessité d’une surveillance particulière lors du transfert
  6. Consultation si ALD en rapport avec la consultation et si incapacité physique ou mentale rendant le patient incapable de se déplacer seul Cf ce décret et cet arrêté

C’est cette  dernière situation qui me pose problème. Je fais des consultations préanesthésiques en CHU. Il y a plein de raisons qui amènent le patient chez nous : on est centre de référence pour certaines pathologies, certains patients fragiles sont récusés ailleurs et l’offre de soin est un peu inégale sur le territoire (et puis on est très gentil, il faut bien le dire 🙂 )

J’ai donc régulièrement des patients qui me demandent un bon de transport en fin de consultation. Et là c’est le drame ! Un imbroglio de méconnaissance du problème et de mauvaises pratiques antérieures conduisent à faire voler en éclat ma sérénité. En gros, les patients en ALD croient que tout est pris en charge, que leur pathologie soit en lien ou non avec leur consultation et les ambulanciers renforcent cette idée en racontant à tout le monde « c’est bon vous êtes à 100%, demandez le bon au docteur et ça roule (sic) ».

Alors non, non et renon. D’abord un bon de transport doit se faire a priori. Etant souvent en dernier maillon d’une chaine de soins je veux bien faire le bon de transport pour l’hospitalisation qui va arriver pour la chirurgie mais certainement pas pour venir me voir. Ensuite les patients en ALD devraient ramener leur attestation d’ALD pour qu’on puisse vraiment statuer si la pathologie pour laquelle ils consultent est en lien avec l’ALD.  Le lien entre artérite et polype de corde vocal n’est pas si évident, si ?

Comme je suis humain, je signe parfois des bons où l’indication est discutable. Je ne respecte parfois pas la loi. Parfois ce sont les conditions socio-économiques du patient qui m’y pousse, parfois le patient ne semble pas rentrer dans les bonnes catégories alors qu’il a vraiment l’air mal en point… parfois la loi semble être mal faite, parfois le docteur fait mal, parfois je n’ai plus envie de me battre : il y a d’autres problèmes plus urgents à gérer.

En tout cas j’en ai ras le pompon de voir des ambulanciers emmener X personnes dans leur ambulance pour venir au CHU en psalmodiant « vous demanderez le bon au docteur, vous êtes à 100% ». Soyons forts face aux demandes abusives !

Catégories
anesthésie-réanimation médecine

L’OAP unilatéral

 » – OAP unilatéral… hum… qu’est-ce que vous me racontez là ??! vous ne voulez pas que j’aille chercher la couverture antibiotique dans la réserve pour traiter sa pneumonie par hasard ?

– nan, nan je te jure ça existe, viens voir… »

Avant que j’apprenne l’échographie cardiaque, un OAP unilatéral me paraissait relever de la science-fiction. Aujourd’hui j’essaye de m’intéresser plus finement au coeur des patients et l’échographie m’ouvre les yeux.

Catégories
anesthésie-réanimation ar101 médecine top

Fibrillation auriculaire en post-opératoire

La fibrillation auriculaire est fréquente après une chirurgie lourde, surtout s’il y a un abord thoracique. En chirurgie thoracique mon pifomètre me dit qu’il y a près de un patient sur trois qui fait un épisode de fibrillation auriculaire (FA).

Pour moi la FA est un signe d’alerte. J’évite de dégainer de l’amiodarone et de passer à autre chose. Je pense qu’il faut creuser un peu l’affaire. Je vous propose avec cette courte note ma « check-list passage en FA en post-opératoire ».

Catégories
médecine nutrition sport top

Les compléments alimentaires sont inutiles

J’ai pris pendant une période de ma vie des compléments alimentaires. J’y ai cru. Naïvement, bêtement et aveuglément. A travers ce billet je veux expliquer ce qui m’a attiré sur cette voie et pourquoi j’ai rebroussé chemin.

Après la lecture, un seul message à retenir : les compléments alimentaires n’améliore pas l’état de santé. Dans certains cas ils font même pire que mieux et dans tous les cas ils sont une dépense inutile.

Catégories
anesthésie-réanimation ar101 médecine

Le frisson post-opératoire

Le frisson post-opératoire est un phénomène curieux. Il peut être lié à l’anesthésie, quelles que soient ses modalités, ou à la chirurgie.

La première cause qui vient  l’esprit est l’hypothermie. Durant une intervention le patient peut se refroidir facilement. Les principaux facteurs qui viennent à l’esprit sont les apports de fluides, la perte du frisson musculaire, la vasodilatation liée aux médicaments d’anesthésie (avec redistribution du sang périphérique vers le noyau central)

Catégories
anesthésie-réanimation credo médecine

Parler calmement

Micropost.

Je voulais juste partager cette pratique avec vous. Parler calmement permet d’apaiser bien des situations. Lors des inductions anesthésiques j’essaye de multiplier les attitudes rassurantes*. La parole est un outil puissant.

Lorsque j’endors un patient j’essaye de ne parler que le temps de son expiration. Je me concentre sur son thorax ou le ballon et je synchronise ma respiration sur la sienne. Je ne parle que pendant l’expiration du patient. Le débit de parole se fait beaucoup plus lent. Plus calme. On rentre en phase.

Si vous pratiquez des gestes sous locale ou l’Anesthésie essayez, c’est vraiment intéressant !

 

* Postscriptum :

1) On a tous nos moments où l’on est plus moins disponible hein… je ne revendique rien

2) Si Jaddo passe par là, spéciale casse-dédi.

Catégories
médecine

La recherche clinique, boîte de Pandore ?

Je sors d’une semaine de travail un peu décourageante quant à mon investissement (déjà maigrichon) en recherche clinique.

Chapitre 1

Catégories
livres médecine

Les nouveaux paradoxes de la médecine de Luc Perino

Je viens de lire « Les nouveaux paradoxes de la médecine » de Luc Perino.  Luc Perino est médecin généraliste. J’ai découvert ses écrits via son blog sur la plateforme du Monde. J’aime bien ses notes concises orientées santé publique. Mathieu Vidard a récemment reçu Luc Perino dans La Tête au Carré et ça m’a donné envie d’en lire plus. Je n’ai pas été déçu.

Catégories
livres médecine pédagogie

Bricolage statistique

Je suis nul en statistiques et en probabilités.

Les billets de Jean-Marie Vailloud sur grangeblanche.com nourrissent mon envie de m’améliorer.

Catégories
médecine sport

HRV beginner

Ca y est ! A force de lecture et de bidouillage j’ai trouvé un logiciel pour analyser ma variabilité de l’intervalle R-R. J’ai envie d’essayer d’analyser la variabilité de mon rythme cardiaque. Sur le papier le concept est séduisant, j’y reviendrai plus tard. En pratique pour le moment je trouve juste ça beau. Je n’y comprend rien mais ça me fascine oO

HRV nfkb 1

Catégories
médecine nutrition

FAT : Pourquoi on grossit

Je viens de terminer la lecture de « Why we get fat : and what to do about it » de Gary Taubes.  C’était passionnant ! Le genre de bouquin qui stimule la réflexion pour un moment.

Bacon-And-Egg-Cupcakes

Catégories
anesthésie-réanimation médecine

colchicine et troubles de la cicatrisation

Ca faisait un moment que je me posais la question de l’interférence de la colchicine dans la cicatrisation des patients en chirurgie. Des observations personnelles me faisaient tiquer et les internistes étaient soit injoignables, soit ne se poser pas la question… bref je me suis enfin tourné vers le centre de pharmacovigilance qui m’a fait une superbe réponse. Je les aime d’amour 😉 !

Je les cite :

Cher Confrère,

Nous répondons à votre question concernant la colchicine et les troubles de la cicatrisation. Vous pensez notamment à deux de vos patients qui ont présenté une fistule salivaire et des escarres sacrées alors qu’ils étaient traités par colchicine. Comme vous le savez, la colchicine est un poison du fuseau et inhibe la polymérisation des tubulines en microtubules, indispensables aux phénomènes de mouvements intracellulaires. Les macrophages et les neutrophiles vont ainsi, sous l’action de la colchicine, perdre leur capacité de transport des organites subcellulaires. C’est par cette action qu’est dû l’effet bénéfique lors d’un accès de goutte. De plus, la colchicine inhibe les mitoses qui vont être bloquées en métaphase.

 

Dans la littérature, nous retrouvons de nombreuses études expérimentales s’intéressant au rôle de la colchicine dans la cicatrisation. On retrouve notamment une étude publiée en 1977 mettant en évidence que les agents inhibant les fonctions des microtubules, comme la colchicine ou la vinblastine, en application topique, réduisent voire arrêtent la contraction de la plaie1. En plus de cette action sur les microtubules, la colchicine augmenterait l’activité collagénolytique2. Une étude plus récente (1999) a été réalisée chez des souris présentant des lésions dorsales de la même taille et ayant reçu soit de la colchicine, soit une substance témoin (tampon salin phosphate). La taille de la blessure a été régulièrement mesurée sur une période de 14 jours ainsi que la profondeur de la blessure, le degré de fibrose, la réponse inflammatoire cellulaire et la revascularisation. Chez les souris recevant de la colchicine, la taille de la blessure était plus grande que chez les souris ayant reçu de la solution tampon. Concernant la profondeur de la blessure et le degré de fibrose, il n’y avait pas de différence entre les deux groupes. Par contre le degré de revascularisation de la blessure était plus faible dans le groupe ayant reçu de la colchicine que dans le groupe ayant reçu de la solution témoin.

 

Chez l’homme, les données sont plus rares. On retrouve une observation concernant un homme de 77 ans qui a présenté une fistule gastro-intestinale alors qu’il était traité par antiinflammatoire non stéroïdien (aspirine et indométhacine) et colchicine depuis plusieurs années. Les auteurs précisent que la colchicine a certainement interféré avec la cicatrisation entrainant une persistance de la perforation et une fistule.

 

Par ailleurs, plusieurs publications font état de retard de cicatrisation cornéenne chez des patients traités par colchicine5,6. On peut par exemple citer le cas de deux patients. Le premier cas concerne une femme de 86 ans traitée par colchicine dans une indication d’arthrite rhumatoïde. Elle a été prise en charge pour un ulcère profond de la cornée persistant alors qu’elle était traitée depuis 3 semaines par des antibiotiques locaux. Le deuxième cas concerne une femme de 60 ans hospitalisée pour un ulcère cornéen de l’oeil gauche. Elle était traitée par colchicine pour une maladie du collagène mixte. Les antibiotiques locaux ont été inefficaces et l’ulcération cornéenne s’est aggravée en perforation. L’arrêt de la colchicine chez ces deux patients a permis une cicatrisation rapide de la cornée. Dans la base nationale de pharmacovigilance, nous ne retrouvons aucune observation de retard de cicatrisation sous colchicine, ni de fistule gastro-intestinale ou d’escarres. Au total, au vu des données bibliographiques, il est possible que la colchicine puisse entrainer un retard de cicatrisation par son action collagénolytique et son action sur les microtubules.

 

Il serait intéressant d’enregistrer vos observations dans la base nationale de pharmacovigilance. Nous pouvons passer dans votre service pour consulter les dossiers et remplir une fiche de déclaration.

En vous remerciant pour votre confiance et en restant à votre disposition, nous vous prions de croire, cher Confrère, en nos meilleures salutations.

 

Pharmaciens

 

1 Ehrlich HP, Grislis G, Hunt TK. Evidence for the involvement of microtubules in wound contraction.Am J Surg. 1977;133(6):706-9.

2 Peacock EE Jr. Pharmacological control of surgical scar tissue. Am Surg. 1978;44(11):693-8.

3 Wang RY, Abrams T, Monfils P, Salness R, Raymond RM. The effects of colchicine treatment on wound healing in a caustic murine injury model. J Toxicol Clin Toxicol. 1999;37(7):845-53

4 Ramakrishnan T. Confined perforation of a prepyloric ulcer into the duodenum forming a gastroduodenal fistula. South Med J. 1986;79(7):887-9.

5 Leibovitch I, Alster Y, Lazar M, Langevitz P, Livneh A, Loewenstein A. Corneal wound healing in a patient treated with colchicine for familial Mediterranean Fever (FMF). Rheumatology (Oxford).2003;42(8):1021-2.

6 Alster Y, Varssano D, Loewenstein A, Lazar M. Delay of corneal wound healing in patients treated with colchicine. Ophthalmology. 1997 ;104(1):118-9.

 

Catégories
anesthésie-réanimation ar101 médecine top

Magnésium et anesthésie

Le magnésium est un cation majoritairement intracellulaire. Il n’y a que 1% du pool magnésien en extracellulaire. On peut globalement retenir que le magnésium a un effet inhibiteur calcique. L’administration de  magnésium peut être utile comme adjuvant aux médicaments permettant une anesthésie générale.

Catégories
anesthésie-réanimation médecine

victorinox

Qui a dit que l’anesthésie c’était un truc routinier ?

Cette semaine une tumeur rare de la surrénale, des reprises de fistule artério-veineuse sous anesthésie loco-régionale, une pose de péridurale pour une chirurgie thoracique, une pose de voie centrale sous échographie pour un patient sous clopidogrel « inarrêtable », faire une fibro pour vérifier les nerfs récurrents, un pontage vasculaire complexe avec des homogreffes, de la chirurgie bariatrique, une chirurgie simplex chez un patient sujet à l’hyperthermie maligne, une embolie gazeuse au démarrage d’une coelioscopie… et la semaine n’est pas finie !

Catégories
anesthésie-réanimation médecine

coup de mou

parfois on fait de son mieux et ça foire

parfois on le sent pas, on fait de son mieux et ça foire

parfois une catastrophe vous tombe sur le coin de la tête, vous n’y pouvez rien mais ça fa

 

it mal

Catégories
médecine nutrition sport

Resvératrol et activité physique

Le resvératrol est un phénol qui a été porté au firmament ces dernières années par les « immortalistes » de tout poil qui voyaient dans cet activateur des sirtuines une source de jouvence.

Il a récemment été testé dans un tout petit groupe d’hommes de plus de 65 ans pour rechercher des pistes quant à son utilité pour « booster » les bénéfices de l’activité physique.